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Saison 2021 : Fenêtre sur rue

Du 7 décembre au 30 janvier: Strada Ex Machina

Une année d’explorations numériques autour de la cartographie La thématique 2021 “Fenêtre sur rue” aura fait émerger plusieurs ateliers et interrogations autour des données représentées sur les cartes, autour de la représentation de l’espace urbain. Qu’est-ce qui est visible sur les cartes officielles? Des bâtiments, des infrastructures, des humains, des noms, des histoires? Que voudrait-on voir apparaître? Quelles réalités, quelles trajectoires?  Ces questions se sont déclinées en cartographies numériques, maquettes, récits à embranchements multiples, discussions, ou encore création de films, pour parler des liens entre institutions et habitant·es, imaginaires, ou réalités genevoises. À L’espace le 4e, un cabinet de curiosité est installé pendant deux mois. Structure mobile, tel un kiosque de rue, il vous permet d’explorer tranquillement cette diversité de créations. Du 7 décembre au 30 janvier. Coordinatrice du projet : Cassandre Poirier-Simon, médiatrice culturelle numérique aux Bibliothèques MunicipalesScénographie et montage : Bérénice Pinon et Alexandre Beytrison Exposition interactive sur tablettes, telles des fenêtres d’immeuble, documents sur la cartographie et collection de cartes de Genève en consultation, document du Sismographe à emporter, tiroirs à lire, maquette de rue à observer… Explorez le cabinet de curiosité « Strada Ex Machina »! https://linktr.ee/mediationnumeriquebm Pour consulter l’expo interactive depuis chez vous Avec les projets ou interventions de : Sophie Czich (designer-chercheuse), Armelle Hausser (doctorante au Laboratoire de Sociologie urbaine de l’EPFL), Collectif Urbz (spécialisé dans la gouvernance urbaine et participative), Clément Drévo (designer et facilitateur au sein du collectif Codesign-it), Viviana Gozzi (facilitatrice graphique), Marie Wathelet, Nicolas Waechter, Sonia Miny et Nicolas Croquet de l’équipe du Sismographe, Felix Brüssow (architecte-paysagiste et illustrateur), Katharina Kreil, Sara McLaren et Jessica Decorvet (artistes), Nic Ulmi (co-coordinateur de la médiation culturelle numérique aux Bibliothèques Municipales de Genève), Carole Schaffroth et Aude Bourrier (comédiennes), Dimitri Delcourt (graphiste) et David Hodgetts (développeur), Isabelle Sentis (Queer Code) et Emilie Brusseaux (Gamaturgie), Moon & Luigi (artistes drag king & queen), Anna Leckie (médiatrice numérique à la Bibliothèque de la Cité), et… notre public, adultes, ados, enfants ! Contenu des tiroirs

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Luigi & Moon, détectives styléxs – Une vidéo jeune public

Après la vidéo « Monstre-moi qui tu es« , dans le cadre de l’année de médiation sur la thématique « Monstre », revoici les drag Luigi & Moon, pour une nouvelle vidéo jeune public sur la question des discriminations! Moon & Luigi partent en investigation dans la rue et interpellent des passant-e-x-s* :« Qu’est-ce que vous pensez de mon style? »« Oseriez-vous vous looker comme moi? »Par ces simples questions, il s’agira de comprendre ce qui se joue derrière les regards dans l’espace public, les stigmates et les normes de paraître.De nouveau, un-e-x invité-e-x mystère est de la partie! * la lettre « x » est utilisée pour désigner les personnes qui ne se reconnaissent pas dans une identité binaire de genre homme/femme, ou préfèrent ne pas indiquer leur genre.Cf. Réponse sur InterrogeDes orthographes expérimentales utilisant la lettre « x » comme « noux » ou « styléxs » sont utilisées par et pour les personnes concernées. Elles restent fluides et sujettes à changement.

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13 octobre, 14 novembre et 1er décembre : Stop motion

Atelier numérique programmé dans le cadre de l’expo « Donne-moi la main on va traverser la rue« , au Multi. Les enfants ont créé leur propre film d’animation au cœur de l’exposition consacrée à Zeina Abirached. En s’inspirant de l’univers de l’auteure, chacun et chacune ont imaginé une courte histoire et lui ont donné vie. Après la création des décors et des personnages, les films ont été tournés avec une application, en prenant beaucoup de photos.

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Mercredi 29 septembre : Carrefours

Dans cet atelier, Marion Bareil, cofondatrice du Studio Tourmaline, a proposé aux participant-es de créer une promenade virtuelle aux multiples destinations. L’outil Twine leur a permis de créer rapidement des histoires à choix multiples. «Vous êtes dans une rue : que se passe-t-il ensuite ?» Choix des décors agrémentés de gif animés, choix des chemins dans lesquels les joueur-euse-s peuvent s’aventurer : ainsi, par ses choix, chaque joueur-euse arrive à une destination différente. Cet atelier a été l’occasion pour les participant-es de créer un court jeu vidéo narratif sans avoir besoin de savoir programmer ! L’atelier s’est déroulé dans l’Espace le 4e de la Bibliothèque de la Cité. Voici les histoires créées par les enfants : Adriana Chloe Bluem, « la rue » Abel, « histoire mystérieuse » Malek, « la rue » Pia, « la vie dans la rue » Sarafina, « le restaurant » Come

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Mercredi 29 septembre : Techno-Street – malentendances et usage des technologies dans l’espace public

Klaxons, talons, trams, conversations… À quoi ressemblent les bruits de la rue perçus par des personnes malentendantes ? Quel support peut apporter la technologie ? Saviez-vous qu’il existe des prothèses qui fonctionnent avec des ondes lumineuses? Durant l’été, le festival Spielact a invité des artistes, chercheur-euse-x-s et ingénieurs à un hackathon de trois jours à la Bibliothèque de la Cité sur ces sujets. Le but était d’imaginer une installation immersive qui sensibilise le public aux sons perçus par les personnes sourdes et malentendantes dans l’espace public. La table ronde présente les résultats de cet atelier afin de créer un dialogue avec le public et les professionnel-le-x-s. Spielact donne une attention particulière à ce que chaque projet soit constitué en majorité par des personnes concernées. La table ronde est interprétée en langue des signes française (LSF). Intervenant-exs : Sonia Schwerdtel : Architecte d’intérieur Noha El Sadawy. Médiatrice culturelle en langue des signes Fadhel El May : PhD Candidate à l’Institute for Auditory Neuroscience, Göttingen Laurent Novac : Ingénieur informatique et media designer. Modération: Laurence Difelix : Journaliste Interprètes :Sabine Chevalier, codeuse-interprète LPCAssociation des interprètes LSF indépendantes Pour aller plus loin : Participant-exs au hackathon : Sonia Schwerdtel est malentendante et diplômée de la HEAD  en architecture d’intérieur. Elle a grandi dans le monde des entendants et a découvert le monde des sourds/malentendants en 2018 auquel elle se sent bien intégrée. Fadhel El May est diplômé de l’EPFL en Bioingénierie et est actuellement doctorant en Allemagne. Son sujet de recherche porte sur l’implant cochléaire. Lui-mêmeporteur d’un implant et utilisateur du langage parlé complété, il s’intéresse à la perception de l’audition et de la communication à travers les divers vécus de la surdité. Laura Spozio s’est formée en photographie, puis en arts visuels. Depuis 2018, elle travaille en tant que chercheuse HES, et intègre, plus récemment, la commission art public du FMAC. Son travail plastique s’articule dans l’intervalle d’une pratique de vidéo expérimentale, l’exercice d’actions discrètes dans l’espace public, et la réalisation d’installations performatives. Bastien David est doctorant. Sa réflexion porte sur la place des personnages virtuels dans la société. Il s’intéresse à l’histoire et la culture sourde à la langue des signes dans le cadre de ses recherches. Laurent Novac artiste et ingénieur, membre du studio Genevois z1, studiod’art contemporain actif dans la création de performances et d’installations. Il est aussi professeur invité au sein du département master Média Design de la HEAD. Nabil El May est diplômé de l’École Hôtelière de Lausanne et travaille dans le domaine de l’hôtellerie. Sourd et porteur d’un implant cochléaire il a grandi dans le monde des entendants et utilise la lecture labiale comme outil de communication. Bastien David est doctorant. Sa réflexion porte sur la place des personnages virtuels dans la société. Il s’intéresse à l’histoire et la culture sourde et s’intéresse à la langue des signes dans le cadre de ses recherches. Alexandre Koo est diplômé EPFL en informatique. Spécialisé dans le Product Management et la création de produits digitaux, il s’est intéressé à l’application de la technologie dans la démarche de sensibilisation à une thématique sociétale. Avec la participation de Noha El Sadawy, médiatrice culturelle en langue des signes et Sabine Chevalier, codeuse-interprète en LPC

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Donne-moi la main on va traverser la rue

Depuis chez vous, visitez l’exposition de (et avec) Zeina Abirached, auteure de BD et illustratrice franco-libanaise. Sur cette page : Zeina Raconte : La visite de l’expo en vidéo et en audioContenus : Retrouvez playlists et bibliographie depuis chez vousLes rencontres : Vidéos et audios des rencontres autour de l’expositionLes ateliers : Résultats des ateliers autour de l’exposition Presse : articles et interviews Donne-moi la main on va traverser la rue est une expérience visuelle et sonore qui dévoile l’univers graphique de Zeina Abirached et relate le lien fort qu’elle entretient avec sa ville natale, Beyrouth.Accompagné-e-s par des sons enregistrés au Liban, les visiteur-se-s déambulent au cœur d’une gigantesque fresque et découvrent des illustrations, des originaux, des dessins de presse, des archives personnelles, ou encore la voix de l’auteure qui les guide dans les rues de sa ville et qui raconte de manière intime son lien à son œuvre, ses sources d’inspiration et les anecdotes qui construisent ses personnages. Dates : Du vendredi 10 septembre 2021 au samedi 21 mai 2022, bibliothèque de la Cité (salle Le Multi). Programme de médiation : Disponible à la Cité ou à télécharger en PDF ici. Zeina raconte Visite sonore de l’exposition (réalisée dans le cadre du festival Fureur de lire) : Contenus Les 6 capsules audio diffusées par les téléphones dans l’expo : Bienvenue dans l’exposition Donne-moi la main, on va traverser la rue, qui présente le travail de l’artiste franco-libanaise Zeina Abirached. Quoi ? Comment ? Vous ne pouvez pas venir ? Ou alors vous aimeriez vous replonger dans ces histoires et cette histoire ? Pas de problème, nous vous donnons à entendre ce qu’il y a à voir, et nous vous faisons écouter la voix de Zeina au détour des rues de Beyrouth, entre hier et aujourd’hui. Zeina raconte sa ville, ses livres, ses inspirations 1/6 : Beyrouth aujourd’hui, la rue Zeina raconte sa ville, ses livres, ses inspirations 3/6 : Un pont entre histoire et actualité Zeina raconte sa ville, ses livres, ses inspirations 5/6 : Georges Perec Zeina raconte sa ville, ses livres, ses inspirations 2/6 : La nécessité du dessin Zeina raconte sa ville, ses livres, ses inspirations 4/6 : Le rapport à la langue Zeina raconte sa ville, ses livres, ses inspirations 6/6 : Le jeu des hirondelles Mini Bio : Zeina Abirached est née à Beyrouth, en 1981, durant la guerre civile. Elle passe son enfance sur la ligne verte, zone de démarcation qui coupait la ville en deux. Dessinatrice, formée à Beyrouth et à Paris, elle connaît un important succès avec son premier long récit, Mourir partir revenir, Le jeu des hirondelles (éditions Cambourakis, 2007). Succès confirmé avec Le Piano oriental (éditions Casterman, 2015), un roman graphique qui relate la vie de son arrière-grand-père, créateur d’un piano étonnant pouvant jouer les quarts de ton de la musique orientale. La playlist Notes libanaises, compilée par l’Espace musique des Bibliothèques municipales Rien de tel que la musique pour s’imprégner d’un lieu ! Cette playlist reflète la variété des styles que l’on trouve au Liban, pays pluriculturel, multiconfessionnel, au carrefour entre l’Asie et l’Europe. Des musiques orientales traditionnelles ; des artistes populaires, stars mondiales de la chanson arabe ; des musicien-ne-s qui font résonner le Liban via le jazz ou le rap et font vibrer les quarts de ton jusque dans les instruments occidentaux… Bonne déambulation dans les rues de Beyrouth Playlist réalisée par Mireille Favez, Katia Savi et Frédéric Sauge, bibliothécaires à l’Espace musique des Bibliothèques municipales Découvrez également une bibliographie spécialement créée autour de l’exposition qui vous immerge dans l’histoire et la culture libanaise. Les rencontres « Éloge des mauvaises herbes », rencontre avec Dima Abdallah (Bibliothèque de la Cité, 20 novembre 2021) Dans une écriture sensible et délicate, Dima Abdallah nous emmène sur l’épaule d’une petite fille, née pendant la guerre du Liban et qui pose un regard décalé sur les évènements grâce à la figure tutélaire de son père. Être une mauvaise herbe en temps de guerre n’est pas une posture anodine, c’est un moyen de survivre. Récit d’un amour inconditionnel entre une fille et son père, Mauvaises herbes (éditions Sabine Wespieser, 2020) nous emmène dans des réflexions profondes sur comment être au monde lorsque tout se perd. Modération : Laura Sanchez En partenariat avec le festival Les Créatives « Beyrouth, Dubaï, Genève : qu’est-ce qui fait l’âme d’une ville ? », rencontre avec Camille Ammoun (Bibliothèque de la Cité, 11 novembre 2021) Si vous ne voyez pas la vidéo, cliquez ici Avec Octobre Liban et Ougarit (2020 et 2019), l’écrivain et politologue Camille Ammoun a fait une arrivée remarquée aux éditions Inculte. Le personnage de son roman, Ougarit Jérusalem, est « urbanologue », et c’est une appellation qui va bien à Camille Ammoun, qui arpente les villes et les raconte comme personne. Avec lui, nous explorons l’espace de la ville en long, en large et en travers. Nous allons aussi à Beyrouth, ville-monde qui contient toutes les richesses et les malheurs contemporains… Et nous lui demandons au passage quel regard il pose sur la cité de Calvin. https://camilleammounwrites.wordpress.comModération : Laura Sanchez « Mémoire des lieux, trace des souvenirs », rencontre avec Lydia Flem (Bibliothèque de la Cité, 7 octobre 2021) Si vous ne voyez pas la vidéo, cliquez ici. Lydia Flem – psychanalyste, écrivaine et photographe – et Zeina Abirached viennent d’horizons très différents, mais la rencontre de leur deux univers semblait inévitable. Attachées aux lieux et à leur mémoire, elles sont toutes deux hantées par l’oeuvre fascinante de Georges Perec. Lors de cette rencontre exceptionnelle, nous évoquerons l’espace de la rue et des maisons comme reflet de l’âme des gens qui y vivent. Des simples habitant-e-s jusqu’aux artistes les plus prestigieuses et prestigieux, habiter un lieu est la première étape pour être au monde. « Qu’est-ce qui donne le sentiment d’être chez soi quelque part ? D’habiter tout à la fois son corps, sa maison et le monde ? » https://lydia-flem.comModération : Laura Sanchez « Tchak tchak ! Persil plat et gâteaux au safran », rencontre avec Karim Haïdar (Bibliothèque de la Cité, 9 décembre 2021) Karim Haïdar et Zeina Abirached ont signé ensemble L’encre de seiche, 10 façons de la préparer (éd. Épure, 2021). Vous imaginez les séances […]

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Retour sur les visites-ateliers « Lieux en lien »

Katharina Kreil invite les personnes qui croisent son chemin à lui raconter une histoire en relation avec des lieux à Genève. Elle en grave un tableau pour l’imprimer sur une plaque de béton afin de l’installer à l’endroit précis de l’histoire dans l’espace public.Ce projet forme une cartographie subjective et sentimentale de la ville et rend hommage aux histoires vécues. Une visite guidée expérimentale à travers les plaques de “Lieux en lien” a éveillé les histoires (et en a même créé d’autres), a immergé les participant-es dans la ville… qui ont à leur tour illustré leur propre anecdote avec l’atelier monotype sur béton, à l’Espace le 4e. Visite donnée par Sara McLaren Atelier monotype avec Katharina Kreil et l’aide de Jessica Decorvet Rendez-vous le dimanche 19 décembre à 14h, à l’Espace le 4e, pour un versant numérique de cet atelier : comment partager ses souvenirs sur une carte narrative? Les inscriptions ouvriront à partir de novembre, sur bmgeneve.agenda.ch Samedi 18 septembre : Mercredi 22 septembre :

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De parc en parc avec les BM – Programme

Avec les beaux jours, les Bibliothèques municipales se mettent au vert et vous donnent rendez-vous dans deux parcs genevois pour une panoplie estivale de propositions culturelles pour vous et vos enfants. Première halte (7 – 18 juillet): les magnifiques Conservatoire et Jardin botaniques de la Ville de Genève, haut lieu de balades bucoliques et instructives bien connu des Genevois-e-s. Deuxième halte (21 juillet – 1er août) : le mythique Bois de la Bâtie, véritable carré de nature au cœur de la ville, dont les cheminements, l’éclairage, le mobilier urbain et la régénération de la forêt ont été entièrement repensés. Téléchargez le programme en cliquant ici

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Samedi 22 mai – Nos lieux, nos fêtes, nos combats : notre histoire compte

Atelier de cartographie lesbienne et bisexuelle proposé par les Bibliothèques municipales et le service Agenda 21-Ville durable, en collaboration avec Queer code et l’association Lestime, dans le cadre de la campagne contre l’homophobie, la biphobie et la transphobie de la Ville de Genève. Récolte de flyers de fêtes militantes ou de manifestations, de pancartes qui ont déambulé dans la rue, de photos de revendications écrites sur les murs, d’interviews lors de moments de rassemblement, de colère ou de joie… Cet atelier est destiné à visibiliser l’histoire et les luttes de personnes lesbiennes, bi- et pansexuelles à travers la mise en valeur d’archives dans une cartographie en ligne. La matinée se passera à Lestime et sera dédiée à la prise de connaissance collective des archives et à vos contributions si vous en avez. Après un pique-nique ensemble (prenez de quoi vous restaurer), l’après-midi aura lieu à la Bibliothèque de la Cité, et vous pourrez participer à l’édition de ces contenus et leur mise en ligne sur la cartographie commune “Notre histoire compte”. 11-13h à Lestime14h30-16h30 à l’Espace le 4e, Bibliothèque de la Cité Photos de la journée : Photos d’anciens ateliers :

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